Excusez-moi j'ai oublié de signaler mes pistes:

Je me suis d'abord demandé si il n'y avait pas de données pièges et j'ai aussi tenté une mise en équation mais je ne m'en sors pas.

Bonjour,

Soit d la distance entre nous et le point où la foudre est tombée.
Soit t1 la durée séparant l'impact réel de l'éclair vu par nous.
Soit t2 la durée séparant l'impact réel du son entendu par nous.

Mets l'énoncé en équation.

Nicolas

    Une question : tu es en voiture et tu "fais" du 34 m/seconde.
Combien fais-tu de mètres en 7 secondes ?   J'attends ?...   J-L

J'ai la formule V = d t

D'où d = V t

D'après les données d = 2 380 m

Si on vérifie avec l'approximation que l'on utillise, à savoir si on compte avant d'entendre le tonnerre et que l'on divise la durée par 3, ça donne environ 2,3 km. Ce qui me gêne c'est que je n'ai pas utilisé la vitesse de la lumière pour arriver à ce résultat. Déconcertant de simplicité ou erreur?

Soit d la distance entre nous et le point où la foudre est tombée.
Soit t1 la durée séparant l'impact réel de l'éclair vu par nous.
Soit t2 la durée séparant l'impact réel du son entendu par nous.

Mettons l'énoncé en équation.

{ d = c(lumière)*t1
{ d = c(son)*t2
{ t2 = t1 + 7

Trois équations. Trois inconnues (d, t1, t2).

Donc, on a:

{ d = c(lumière)*t1
{ d = c(son)*t2
{ t2 = t1 + 7

D'où:

{ d = c(lumière)*t1 = 3.10
{ d = c(son)*t2 = 340*(t1 + 7) = 2,72.10 + 340 t1
{ t2 = t1 + 7

Alors,

3.10 = 2,72.10 + 340 t1
3.10 340 t1 = = 2,72.10
2,9.10 t1 = 2,72.10
t1 = 2,72.10 2,9.10
t1 = 9,38 s

D'où d = 2,8.10 m

    Bonsoir.    Vitesse du son: 340 mètres par seconde
Vitesse dela lumière(éclair) :  300.000.000 mètres mètres par seconde.

    Alors, restons réalistes. On peut, avant de faire des calculs inutiles, se rendre compte que la vitesse de la lumière étant , en gros, un million de fois plus grande que celle du son, et qu'il est tout-à-fait superflu de tenir compte de la première par rapport à la seconde!...
   Même si l'on est ébloui par l'éclair, restons les pieds sur terre.   J-L

Bonjour jacqlouis
Je quitte l'Île pour aujourd'hui.
Les mathématiciens irréalistes laissent la place aux physiciens qui ont les pieds sur terre (je plaisante )
A bientôt,

Nicolas

Bon bon je ne m'y retrouve plus, plus du tout là.