Bonjour a tous d'adord .Les questions engras sont les questions que je n'y arrive pas.

L'éponge est le parfait exemple d'un produit naturel recopié et amélioré par l'industrie chimique aujourd'hui ;
74 millions d'éponges végétales sont consommées en France chaque année.
Deux siècles avant notre ère, les Crétois utilisaient déjà les éponges marines qu'ils pêchaient comme le font
encore aujourd'hui les Tunisiens et les Grecs. Celles-ci sont des squelettes d'animaux marins qui filtrent par
leurs pores les microsubstances de l'eau de mer.
Après leur collecte, elles sont d'abord trempées dans une solution peu concentrée d'acide chlorhydrique qui
élimine le calcaire, puis stérilisées au permanganate de potassium ; elles sont ensuite blanchies par de l'eau
oxygénée, traitées avec du thiosulfate de sodium, puis elles subissent de nombreux lavages et retrouvent leur
teinte d'origine sous l'action de l'hydrogénocarbonate de sodium. Les éponges marines sont toujours très
prisées. Leur excellente capacité d'absorption de l'eau, de l'ordre de trente fois leur masse, les rend très
performantes pour les gros lavages. Elles sont également appréciées pour la toilette. Mais leur production reste
limitée.
Au début du siècle, les textiles artificiels fabriqués à partir de la viscose sont en plein essor. Des chercheurs
français de ce secteur ont alors l'idée de l'utiliser pour obtenir des éponges artificielles. Un brevet est déposé en
1932 et en 1935 les premières éponges cellulosiques sont commercialisées en France avec grand succès.
Le processus est le suivant : de la pâte de bois est déchiquetée finement, puis imprégnée d'une solution
concentrée d'hydroxyde de sodium. Le produit obtenu est soumis à différents traitements, on obtient une pâte
contenant entre autre des fibres textiles de renfort et des cristaux de sulfate de sodium qui formeront les futurs
trous. Cette pâte est placée dans un moule puis coagulée à la vapeur ou par un procédé électrique. Le sulfate de
sodium soluble est éliminé et les trous apparaissent dans la masse. Après le démoulage, quelques opérations
permettent de régénérer la cellulose qui est essorée, séchée et découpée aux dimensions voulues. Les éponges
ainsi obtenues sont capables d'absorber environ 12 fois leur masse d'eau. Le procédé de fabrication des
éponges cellulosiques permet d'obtenir des produits variés, par la forme, suivant la configuration des moules et
le découpage, par la porosité, selon la quantité et la taille des cristaux insérés dans la pâte, par la texture et la
résistance, selon les fibres végétales incorporées dans la pâte, enfin par la couleur. Les fabricants, en jouant sur
ces différents paramètres proposent une gamme de produits répondant à des usages spécifiques.


éponge naturelle:

1/comment se manifeste l'action de l'acide chlorydrique sur le calcaire?A l'etat gazeux
2/pk faut il stériliser l'éponge?parceque il y a c'est un organisme vivant
3/un produit courant autre que l'eau oxugénée permet de blanchir.lequel? l'eau de javel
4/proposer une experience permettent de mesurer la capacité d'absorption en eau d'une éponge.pesé l'épong séché pui mouilé
5/quel sont les autres questions que l'on pourrait se poser à propos du circuit économique et des arguments de vente dans différents domaines,par exemple:en biologie,en géographie physique et humaine,en chimie?

éponge cellulosique:

1/sous qu'elles étiquettes sont vendies ces éponges? commenter
2/quelles sont les caractéristiques que l'on peut controler au cours de la fabricaton?
3/donner le nom de quelques textiles naturels et de quelques textiles artificiels.
4/comparer les propriétés des éponges cellulosiques et des éponges naturels.