Salut tout le monde je comprend pas comment déterminer les états d'oxydation les plus probable d'un élément et les états d'oxydation les plus stable apres avoir determiner la structure electronique quelqu'un pour m'éclaircir à ce propos
Par exemple pour le vanadium z=23 je comprend pas pourquoi les état d'oxydation les plus probable sont 2 3 4 5 et 1 est exclu et les état d'oxydation les plus stable 5 3
Merci d'avance
Bonjour
Le vanadium a pour couche de valence :
4s2 3d3
Il s'agit donc d'un élément de transition puisqu'il occupe la 3ième colonne du bloc d, sur la quatrième ligne.
Comme tous les éléments de transitions (sauf ceux de la 9ième colonne du bloc d), il perd préférentiellement ses deux électrons s, d'où une ionisation fréquente en V2+, comme on obtient Fe2+, Zn2+, Mn2+, etc...
Selon le caractère plus ou moins oxydant du composé avec lequel on le fait réagir, le vanadium peut aussi perdre un ou plusieurs de ses 3 électrons d. D'où les valences aussi possibles : +III, +IV, +V...
Attention : la chimie des éléments du bloc d est assez compliquée et reste très largement expérimentale...
La 9ieme colonne peut être oxydé par 1e ?? Et comment je peux déterminer le caractère plus ou moins oxydant pour deviner les autres états ??
Le problème est que l'exemple ne présente aucune indications et puis comment différencier les états les plus stables???
Les théories simplifiées aux programmes à ce niveau permettent d'expliquer pourquoi +II est stable, pourquoi +V est très stable et pourquoi +I n'existe pas. Pour le reste... Comme déjà dit, c'est l'expérience qui prime. La preuve : dans une même colonne du tableau périodique, les valences les plus stables ne sont pas toujours les mêmes.
Merci braucoup D'accord donc dans notre cas l'exception de la règle de kirschoff ne s'applique pas mais pourquoi 3 et 5 sont les plus stable et peut on aussi dire si 3 est plus stable que 5 ou l'inverse..
Il n'y a pas d'explication simple à ta question. Il faut considérer cela comme un résultat expérimental.
N'oublie pas que l'atomistique de l'atome de vanadium consiste à étudier les interactions entre 23 électrons et un noyau. L'étude rigoureuse est impossible à faire, même avec les ordinateurs les plus puissants. Il faut se contenter sur le plan théorique d'approximations simplificatrices incapables d'expliquer toutes les propriétés des atomes...
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