Non, je pense que c'est correct. Regarde ici :
http://forums.futura-sciences.com/chimie/220284-theorie-champ-cristallin.html

Il parle d'énergie d'appariement exprimée en cm-1...
Donc ça a l'air normal...

Bonsoir à vous deux,

Ce lien sert à dire si un complexe est est champ fort ou champ faible. L'idée ici, est de comparer les transitions d'énergie pour lié à la levée de dégénérescence de la couche d aux autres transitions possibles (électronique, vibrationnelles,etc...) . Tu peux deviner que cette transition est faiblement énergétique (inférieurs aux transitions orbitalaires (s vers p par exemple) ou électronique (nb quantique n). Donc, l'absoption lié à la plus faible transition énergétique sera la bonne. Or, deltaE = h.nu = hc/lambda. De fait par application des variations de la fonction inverse, la plus grande longueur d'onde nous donnera la plus faible variation énergétique lié au passage (eg-->t2g en sym octa par exemple).


PS : C'est loin d'être la matière ou j'étais le plus à l'aise. Donc, soyez critique envers mon raisonnement.

Je suis d'accord avec toi Aurélie, le champ de ligand s'exprime en cm^-1, et aussi avec toi Boltzmann on peut exprimer le delta E en fonction de 1/lambda.

Mais le problème réside dans les unités, comment l'inverse d'un longueur peut elle être proportionnelle a une énergie en joules?

Ca, je te l'ai démontré, déjà. Regarde bien les unités de toutes les constantes.

La constante de Plank est en J.s non?

Oui

Ben je vois pas trop :s

Je suis d'accord la relation E = hc/ lambda est ok pour les unités, mais ça ne résous pas le problème si? ou alors j'ai raté un truc!

Si ça résout ton problème.

Tu sais que E = hc/lambda = hc*sigma(le nombre d'ondre en cm^(-1)). Donc, tu vois que l'énergie est proportionnelle à un nombre d'onde. Donc, il est courant d'exprimer l'éclatement par le nombre d'onde de l'onde associé à lieu de l'énergie (il suffit de multiplier par hc pour retrouver l'énergie correspondante).

Oula oui, jsuis bête :p  merci beaucoup!

Vais me coucher. Mes phrases sont de moins en moins françaises.
Bonne nuit.