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RMI des alternateurs

Posté par
piedalu
24-06-13 à 23:08

Bonjour tout le monde,
j'ai besoin de comprendre comment la RMI (Réaction magnétique induite) agit dans les alternateurs. J'ai une formation d'électricien en équipement qui date de 45 ans et voila ce que je sais.

A vide un alternateur à des pertes constantes (pertes mécaniques et fer). Les champs inducteurs sont une fois opposés au mouvement de rotation une fois favorable au mouvement de rotation.
Ces champs inducteurs sont comparables à des couples sur l'axe de rotation.

En charge les pertes sont variables (effet joule et RMI). Le courant induit génère une RMI qui s'oppose à la cause qui lui a donné naissance. C'est la loi de Lenz.
Sont opposition ne peut être aux champs inducteurs. Car dans ce cas elle serait une fois opposée à la rotation quand le champ inducteur y est favorable et favorable à la rotation quand le champ inducteur y est opposé. Ce qui sommairement permettrait à l'alternateur de fonctionner comme s'il était à vide.
La RMI  est donc en opposition avec le mouvement de rotation de l'axe. Elle a donc toujours le même sens. Elle est de nature magnétique comme les champs inducteurs. Elle peut donc être comparée à un couple antagoniste sur l'axe de rotation.
Si cette RMI s'auto équilibrait mécaniquement sur l'axe, serait il raisonnable de supposer améliorer le rendement des alternateurs. Car dans ce cas, aucun pôle de compensation n'est nécessaire et aucune énergie spécifique n'est utilisée pour contrebalancer la RMI. Les pertes en charge seraient sommairement dues au seul effet joule.
Est-ce que ce raisonnement est bon.

Merci d'avance pour vos commentaires.

Posté par
piedalu
RMI des alternateurs 05-10-13 à 20:40

Bonjour
J'ai théoriquement réussi à neutraliser mécaniquement le couple antagoniste de la réactance d'induit dans un alternateur.
Tous les phénomènes physiques d'un alternateur classique sont présents. Bien que la puissance absorbée ne doit plus assumer l'opposition mécanique du couple antagoniste de la réactance d'induit.
En général cette opposition de la réactance d'induit représente environ 80% de la puissance absorbée le reste étant les 20% de pertes. Il n'est pas possible de calculer le rendement Pu / Pa (80/20 = 4) qui donne un résultat utopique de 400%.
Les formules classiques ne s'appliquent pas à ce nouveau concept. Il faut passer par l'expérimentation pour avoir des certitudes. Hélas je n'ai pas les moyens de concrétiser.

Cependant je peux être sur que le rendement d'un tel alternateur est amélioré par l'absence d'opposition mécanique de la réactance d'induit.

Je ne trouve pas de possibilité d'avancer. Si quelqu'un a une idée pour me sortir de cette impasse.

PS j'aurais bien voulu joindre le fichier de 6 pages avec des dessins mais les pièces jointes n'acceptent pas les .doc et .pdf. Dommage car je viens de passer 5h à tenter la conversion en .jpg .peg .gnp etc..., En pure perte.

Posté par
piedalu
RMI des alternateurs 06-10-13 à 14:56

Bonjour
J'ai enfin trouvé la possibilité de mettre mon document sur le net.
Voici l'adresse: *** adresse effacée ***

Cela devrais facilité la compréhension de mon interrogation.
Le document est un pdf il faut donc Adobe Reader pour l'ouvrir.
Bonne lecture.

Edit Coll : tu dois respecter la FAQ ; tu peux poster les figures sur le serveur de l' mais les textes doivent être recopiés

Posté par
piedalu
Images 05-10-14 à 08:16

Bonjour,

Ceci est un essai d'intégration de figure. Si je réussis je pourrais poster ma question, pas tout de suite, car il me faudra alors constituer le document.

Images

Posté par
piedalu
re : RMI des alternateurs 25-05-15 à 17:28

Je m'excuse au près des lecteurs pour ces deux années de silence, mais mon raisonnement a évolué depuis.
Quelque soit l'hypothèse je n'aurais pas de certitude pratique à la question : L'auto-équilibrage par opposition mutuelle des champs magnétiques induits de la RMI, ne va t-il pas annuler l'induction, malgré le fait que delta phi et delta t restent effectif ?
Bien que je ne le pense pas. Car le champ magnétique de la RMI est équilibré par opposition au champ magnétique inducteur de la puissance absorbée dans les alternateurs classiques sans nuire à l'induction.
Je vais donc contourner l'interrogation non plus en opposant la RMI sur elle-même, mais en la séparant du circuit magnétique inducteur. Ainsi la RMI ne s'oppose plus à l'induction ni à elle-même. Ce ne fut pas simple, il y a trois circuits magnétiques. J'ai schématisé l'ensemble et suis même parvenu à un concept torique.
Cependant cela pose encore une question : Un circuit magnétique inducteur enveloppant, comme une gaine tubulaire, une bobine induite, peut il y générer un courant enduit ?
Classiquement le circuit magnétique inducteur est à l'intérieure de la bobine induite. Physiquement il y a possibilité d'induction dans un conducteur, que le champ magnétique inducteur soit d'un coté ou de l'autre de ce conducteur.
La réponse est à la hauteur de mes capacités pratiques. Je vais bricoler un petit montage de ce type et vous promet de vous informer des résultats.

Posté par
piedalu
RMI autoéquilibrée 10-08-15 à 21:10

Bonjour à tous
Mes bricolages sont restés infructueux.
Je me suis donc orienté vers un concept théorique plus simple. Il reste l'expérimentation qui m'est inaccessible.
Voici mon raisonnement dans le document en lien hypertexte.
[url]http://pdf.lu/x347/[/URL]
Pourquoi cela ne serait il pas possible?
Par avance merci de votre intérêt, bonne lecture.

Posté par
piedalu
RMI des alternateurs 14-08-15 à 20:50

Bonjour à tous
Ne cherchez plus, j'ai honte, une grosse erreur de ma part.
Avec l'équilibreur inverseur j'ai changé le sens de rotation, mais la réaction a garder le même sens. De ce fait les effets de la réaction (ressort, fcem...) se retrouve avoir le même sens d'opposition au moteur. Ainsi la réaction divisée en deux s'additionne sur l'axe moteur pour s'opposer en totalité au moteur.
Je suis confus et vous présente mes excuses.

Il reste je pense quand même une idée différente de cet assemblage.
Exemple théorique de l'idée:
Un moteur tournant à 3000 t/mn avec un réducteur de vitesse à 1500 t/mn. Le tout entraine un alternateur bis rotors de sorte que l'un des rotor tourne à 3000 t/mn et l'autre à 1500 t/mn dans le même sens de rotation, induit et inducteur sans préférence.
La fcem réagit au différentiel de rotation de 1500 t/mn et ses effets se répercutent sur l'axe moteur avec 50% d'effet positif dans le sens de rotation du moteur.
Conséquence le moteur n'a plus que 50% d'opposition des effets de la fcem. Si à l'expérience la surunité n'est pas effective, alors son impossibilité sera prouvée. Contrairement aux machines a mouvement dit perpétuel qui ne permettent pas cela.



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