je n'arrive pas à démontrer la périodicité du pendule à partir de son équation différentielle qui est la suivante:
(1)
J'ai consulté des livres qui l'ont démontrer avec l'intégrale première mais je n'ai pas tout compris. Ils procèdent de la manière suivante:
d'abord ils définissent l'intégrale première du pendule
avec et les conditions initiales.
Premier cas: si
alors la solution maximale de (1) est une solution constante
Deuxième cas: si (traitons le cas où , car le cas négatif se traite de la même manière)
d'où pour
Donc au voisinage de , la solution de (1) est la réciproque de la fonction
Soient J un intervalle appartenant dans , tel que et soit , le plus grand intervalle de J surlequel ne s'annule pas.
est définie sur un intervalle contenant donc est une solution de (1)
définie sur .
après on démontre que les solution de (1) est prolongeable en a et b, et c'est là que je ne comprends plus, ils disent que l'on peut prolonger la fonction x au point b en posant et pour tout t appartenant à (b,2b-a),posons x(t)=x(2b-t), la fonction ainsi obtenue est continue sur (a,2b-a), et elle est solution de (1). en faisant le même raisonnement sur la borne a on obtient au final que sur (2a-b, 2b-a) x(2b-t)=x(t) et x(2a-t)=x(t)
x(a)= et x(b)=
alors, x(t+2(b-a))=x(t) pour t appartenant à (2a-b,a), on peut donc prolonger x sur tout R en une fonction périodique de période 2(b-a).
Je ne comprends pas pourquoi une fois qu'on a montré que la solution est prolongeable, on a le droit de poser x(t)=x(2b-t), sur (b,2b-a).
merci par avance de vos réponses.
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