bonjour, j'aurais une question:
quand on calcule la phase initiale d'une grandeur physique, donc quand on a : phi= Arg(../..), et que l'argument du numérateur est nul (donc on a un réel), et donc phi= -arg(..).
Doit-on considérer cosphi ou sinphi pour connaître le domaine de définition de phi?
Dans un exercice, on considère sinphi, qui est forcément négatif, et donc phi appartient à [-pi,0], dans un autre, on considère cosphi qui est positif, donc phi appartient à [-pi/2,pi/2].... Je m'y perds?
Merci bien
Bonsoir,
Sur un exemple, ce serait sûrement plus clair...
Pourquoi le sinus serait-il forcément négatif ? Parce que l'angle est - arg(..) ?
= - arg(..)
Si arg(..) est négatif ?
Pour déterminer , il faut le cos et le sin.
Le sinus est forcément négatif, parce que la partie imaginaire est négative.
Donc si le sinus est négatif, on a phi qui appartient à [-pi,0], or le cosinus est positif, phi devrait appartenir à [-pi/2,0]. Sauf qu'on me dit que le cosinus appartient à [-pi/2,pi/2], ce qui est incohérent avec le fait que le sinus est négatif
Oui, si le sinus est négatif, il y a deux possibilités pour l'angle et c'est le cosinus qui permet de choisir...
Voici deux exemples:
= Arg(
/((w0/Q)+jw0(w/w0 - w0/w)).
Donc en passant à la tangente, on a bien le sinus qu'est négatif, et le cosinus qui est positif. Si on ne considère pas le cosinus, mais qu'on prend juste plusieurs valeurs particulières pour w, on a bien qui appartient à [-
/2,
/2]. Sauf qu'il est dit que
appartient à cet intervalle parce que la partie réelle est positive, donc que le cosinus est positif... mais le sinus est négatif?
z = a + ib
Si a > 0 et b >= 0, Phi est dans le premier quadrant et donc dans [0 ; Pi/2[
Si a > 0 et b <= 0, Phi est dans le 4ème quadrant et donc dans ]-Pi/2 ; 0]
Si a < 0 et b >= 0, Phi est dans le 2ème quadrant et donc dans ]Pi/2 ; Pi]
Si a < 0 et b <= 0, Phi est dans le 3ème quadrant et donc dans [-Pi ; -Pi/2[
Si a = 0 et b > 0, Phi = Pi/2
Si a = 0 et b < 0, Phi = -Pi/2
Si a = 0 et b = 0, Phi n'est pas déterminé.
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arg(z1/z2) = arg(z1) - arg(z2)
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arg(z1*z2) = arg(z1) + arg(z2)
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Dans l'exercice proposé:
z = (z1/z2) avec z1 = Fo et z2 = (w0/Q)+jw0(w/w0 - w0/w)
arg(z) = arg(z1) - arg(z2) = arg(Fo) - arg((w0/Q)+jw0(w/w0 - w0/w))
Si Fo est un réel positif (on est dans le cas a > 0 et b = 0) : arg(Fo) = 0
Si Fo est un réel négatif (on est dans le cas a < 0 et b = 0) : arg(Fo) = Pi (ou -Pi, c'est pareil)
arg((w0/Q)+jw0(w/w0 - w0/w))
wo/Q > 0, on est donc dans un cas avec a > 0
Si w0(w/w0 - w0/w) > 0, alors b > 0 et arg((w0/Q)+jw0(w/w0 - w0/w)) est dans ]0;Pi/2[
Si w0(w/w0 - w0/w) < 0, alors b < 0 et arg((w0/Q)+jw0(w/w0 - w0/w)) est dans ]-Pi/2 ; 0[
Si w0(w/w0 - w0/w) = 0, alors b = 0 et arg((w0/Q)+jw0(w/w0 - w0/w)) = Pi/2
En fonction des différents cas (signes de Fo et de (w/w0 - w0/w)), on peut donc trouver l'intervalle dans lequel se trouve l'arg(z)
Tous les angles en mod(2Pi)
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Sauf distraction.
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