Bonjour,
Précisez : c'est vous qui voulez faire cela de vous même ,
ou bien est ce une question d'un exercice de réflexion ?
En quelle classe êtes vous ?

Bonjour Quarkplus,

En fait la réponse est : les deux.

Le calcul de la pression/dépression à mettre en place m'intéresse et sans doute réaliserai-je le montage a posteriori .

Merci à vous

Alors, à votre avis, quel va être l'effet de le mettre "en dépression"  ?

Un tube néon (qui ne contient pas de néon pour la plupart mais plutôt de l'argon) contient aussi du mercure mais aussi de la poudre de béryllium.

Ces 2 produits sont extrêmement toxiques et on ne doit donc pas casser les tubes "néon" en fin de vie.

La législation impose les manières possibles de se "débarrasser" de ces lampes, et ces manières n'incluent JAMAIS la destruction par des particuliers. (Parmi ces méthodes, il y a souvent (dépend des pays) le reprise par le fournisseur et aussi la possibilité de les remettre sur des sites "prévus pour")
  
Des conseils sont disponibles sur le Web pour limiter les risques en cas de bris accidentels.

En complément à ma réponse précédente :

Même si on trouve le moyen de "casser" ces tubes en se protégeant, on ne pourrait pas jeter les débrits dans une poubelle ou autre, ce qui reviendrait à remettre dans la nature le mercure et la poudre de béryllium.

Il FAUT se conformer à ce qui est prévu dans la législation pour un recyclage "propre".

Salut,

Je suis ravi de votre réponse dans le sens où mon but n'est pas du tout de passer outre une réglementation (surtout que je suis plutôt du type, "je trie mais déchets, je participe à la Earth Hour...), mais plutôt d'étudier un pb physique. Quand je dis que je mettrai en place le système, il s'entend que ce ne sera que pour une expérience, que le local sous pression/dépression sera équipé d'un filtre à charbon, et que les résidus seront traités comme il se doit.

Si d'aventure vous souhaitez m'aider dans cette étude, merci d'avance.